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Scienze - Page 2

  • Congresso Neurinoma a Parigi 31.01.09

    Il 31 gennaio 2009 si terrà a Parigi il 1° Congresso Nazionale sul Neurinoma dell'Acustico organizzato dall'Associazione France-Acouphenes

    la partecipazione è aperta a tutti previa iscrizione e versamento di € 5 come contributo spese per l'organizzazione.

    Qui di seguito il programma

     

     

    Bonjour à toutes et tous,


    Comme vous le savez, France Acouphènes organise le 31 janvier 2009 le « Premier Congrès National du Neurinome de l’Acoustique ».

    Depuis plusieurs semaines, des adhérents de notre association, eux-mêmes atteints d’un neurinome de l’acoustique, travaillent à la préparation de cet événement.

    Nous vous communiquons aujourd’hui les informations essentielles de cette journée.

    1) Le congrès se déroulera donc :

    Samedi 31 janvier 2009
    de 09h30 à 17h30 - Espace Jean Dame
    17 rue Léopold Bellan - Paris 2ème
    Métros : Sentier (ligne 3) – Réaumur Sébastopol (ligne 3 et 4)

    2) L’ordre du jour est le suivant :
    09h00 – 09h45 : Accueil des participants
    09h45 – 10h00 : Ouverture du congrès
    10h00 – 10h45 : « Le neurinome de l’acoustique » - définition, diagnostic, traitements
    10h45 – 11h15 : « L’Imagerie par Résonance Magnétique » - explication, interprétation
    11h15 – 11h45 : « Les vertiges » - vertiges pré et post opératoires, kiné vestibulaire
    11h45 – 13h30 : Pause repas
    13h30 – 14h00 : « Le traitement par Gamma-Knife »
    14h00 – 14h30 : « L’opération du neurinome »
    14h30 – 15h00 : « Le traitement par Radiothérapie Stéréotaxique Fractionnée »
    15h00 – 16h00 : Débats et échanges interactifs sur ces différents traitements
    16h00 – 16h30 : « La paralysie faciale » - diagnostic, traitements, opérations
    16h30 – 17h00 : « Surdité et appareillages » - solutions
    17h00 – 17h15 : Conclusions du congrès

    L’ordre du jour proposé est particulièrement dense, mais France Acouphènes a souhaité organiser une journée la plus complète possible afin de couvrir la quasi-totalité de la pathologie du neurinome de l’acoustique.

    Chaque présentation sera effectuée par un spécialiste du domaine concerné et suivie d’un moment d’échanges (questions/réponses) avec la salle.

    Débats et échanges à 15h : Ce moment sera commun et interactif pour poser vos questions aux trois intervenants spécialisés dans le traitement des neurinomes de l’acoustique.

    Nous vous signalons que tous les spécialistes concernés ont salué notre initiative et nous ont confirmé leur présence ce jour là.

    3) Modalités d’inscription :
    L’organisation d’un tel congrès demande de l’énergie mais représente aussi un investissement budgétaire conséquent pour notre association.
    France Acouphènes a toutefois décidé de privilégier l’accès à ce congrès au plus grand nombre en fixant un prix d’inscription symbolique de 5 euros par personne, accessible à tous.

    Pour transformer votre pré-inscription en inscription définitive, merci de nous envoyer au plus tôt, à l’adresse indiquée, le bulletin d’inscription en indiquant le nombre de participants accompagné d’un chèque du montant concerné.
    Lien pour imprimer le bulletin d'inscription :

    http://www.france-acouphenes.org/site/images/Documents/bulletind%27inscription.pdf

    4) Billets SNCF :
    Si vous venez de province, voire de l’étranger, pour que chacun puisse venir dans les meilleures conditions et pour que le coût du transport soit le plus abordable possible, nous avons négocié avec la SNCF une réduction de 20 % spécifique pour ce congrès.
    Si cela vous intéresse, merci de nous communiquer le nombre de coupons souhaités avec l’envoi de votre bulletin d’inscription afin que nous vous retournions au plus tôt les contremarques nécessaires à cette remise « spéciale congrès ».

    5) Pause repas:
    L’agencement de l’espace Jean Dame ne nous permet pas, comme nous l’aurions souhaité, d’organiser une restauration sur place.
    Aussi, une pause repas de 1h45 est prévue (de 11h45 à 13h30) pour que chacun puisse aller se restaurer dans le quartier. Celui-ci est très bien desservi et ceci pour tous les styles de restauration.
    Nous attirons votre attention sur le respect des horaires car à 13h30 commence la présentation des trois neurochirurgiens sur les différents traitements du neurinome.

    6) Parrainage du Ministère de la Santé
    France Acouphènes a obtenu le parrainage du Ministère de la Santé pour ce congrès.
    Celui-ci se déroulera donc sous le Haut Patronage du Ministère de la Santé, ce qui lui confère une reconnaissance pour tous les participants et place cet événement comme majeur auprès des professionnels de la santé.

    7) Affiche :
    Une affiche a été réalisée pour ce congrès. Elle sera envoyée prochainement à tous les ORL de la région parisienne, aux services ORL et neurochirurgie des hôpitaux concernés par le traitement du neurinome de l’acoustique, ainsi qu’à différents professionnels de la santé.
    Si vous décidez de la diffuser, nous vous invitons à l’imprimer en couleur ou sur du papier de couleur, conformément à la loi.
    Voici le lein pour imprimer l'affiche :
    http://www.france-acouphenes.org/site/images/Documents/Afficheneurinome.pdf

    Médias :
    Plusieurs contacts vont avoir lieu dans les prochains jours avec les médias (presse écrite, revues spécialisées, radio, télévision, etc …).

    Pour tout contact spécifique, merci de nous joindre à l’adresse mail suivante :
    contact.neurinome@france-acouphenes.org

    Nous espérons que toutes ces précisions répondent à vos souhaits et attendons rapidement la confirmation de votre inscription.
    Nous serons heureux de vous rencontrer lors de ce congrès.

    Cordialement,
    Coocky et Serge

  • Indagine condotta dall’Anderson Cancer Center di Houston (Stati Uniti) Tumori, quante informazioni (false) sul web

     Internet:
     come muoversi nel web alla ricerca di informazioni scientifiche da fonti affidabili
     
     
    DRITTE DI NAVIGAZIONE - Come fare,  per informarsi minimizzando il rischio di prendere un granchio? Esistono criteri internazionali, come l’Hon Code (Health on the Net Foundation Code of Conduct), un vero e proprio marchio di attendibilità per siti internet, che si basa su requisiti di credibilità, come il fatto che le informazioni provengano da medici qualificati, che non dispensino soluzioni facili, che rinviino sempre ad un consulto (reale, non virtuale), che vengano dichiarate sponsorizzazioni e conflitti di interesse, che le date di pubblicazione siano esplicitate. Il primo passo, ricorda ancora Gatti, è partire dai siti di istituzioni credibili: «Ci sono gli indirizzi internet dei grandi centri oncologici di livello internazionale, poi quelli delle pubblicazioni scientifiche, giornali che hanno anche interessanti motori di ricerca, e i siti delle associazioni e fondazioni che si occupano di oncologia. In generale - continua Gatti - quando si trova un’informazione, bisognerebbe sempre verificare se chi la fornisce ha una credibilità nell'ambito della medicina. E questo si può ottenere con una certa facilità verificando, ad esempio, se gli specialisti hanno pubblicato su riviste scientifiche di buon livello». Un metodo semplice è inserire il nome dell’autore nel motore di ricerca PubMed (www.pubmed.gov). Sul portale Partecipasalute (www.partecipasalute.it), un progetto promosso dall’Istituto di ricerche farmacologiche Mario Negri e dal Centro Cochrane Italiano, è anche disponibile il “Misurasiti”, uno strumento per mettere alla prova le pagine trovate, e per capire se possono essere utili, o se invece è meglio cliccare altrove. Buona verifica, dunque, magari iniziando proprio da Sportello Cancro.
     
     
      
    tratto da: 
    http://www.corriere.it/sportello-cancro/articoli/2008/04_Aprile/16/internet.shtml 

  • neurinoma e campi elettromagnetici

    Cellulari sì, ma a piccole dosi e lontani dalla testa

    La notizia non farà piacere agli italiani, amanti del loro inseparabile telefonino, ma sarà difficile non tenerne conto: per la prima volta uno studio controllato ha dimostrato la veridicità delle accuse mosse da più parti ai telefoni cellulari sul loro ruolo nell’insorgenza di alcune forme specifiche di tumore cerebrale.
    Da anni infatti si alternano, in varie sedi, indicazioni di segno opposto ma mai conclusive, perché ricavate da studi effettuati a posteriori o da metanalisi, o perché viziate dalla mancata considerazione dell’influenza di altre potenziali fonti di microonde e campi elettromagnetici.
    Emissione di microonde in un telefono cellulare dotato (a destra) o meno (a sinistra) di una custodia che assorbe le radiazioni.

    Lennart Hardell, del Dipartimento di oncologia dell’Orebro Medical Center dell’omonima cittadina svedese, ha raccolto i dati sull’uso dell’apparecchio mobile riguardanti più di 200 soggetti con tumori cerebrali e più di 400 volontari sani. Una volta effettuate tutte le correzioni del caso, la conclusione è stata chiara: se da un parte si conferma l’aumento di rischio di sviluppare un tumore cerebrale per chi, per vari motivi, è sottoposto a radiazioni ionizzanti (per esempio persone che lavorano nei reparti di radiologia, nelle industrie chimiche o nei laboratori di ricerca), dall’altro emerge la responsabilità dei telefonini nel favorire l’insorgenza di una neoplasia proprio nell’area più vicina al punto di contatto con il telefono, cioè i lobi occipitali, temporali e temporoparietali, che persiste anche tra chi ha un’occupazione a rischio.

    I ricercatori svedesi ricordano comunque che la maggior parte dei malati aveva usato telefoni di prima generazione, che emettevano una quantità di microonde da due a tre volte superiore rispetto a quelli usati attualmente. "Per questo" sottolinea Hardell "abbiamo intrapreso un altro studio di dimensioni più ampie, che coinvolgerà 1.500 malati e altrettanti volontari sani e che si concluderà tra un anno". Nel frattempo si può comunque prendere qualche precauzione, come ricorda l’oncologo svedese: "Bisogna usare di più l’auricolare e, se si usa il telefono in macchina, farsi installare un’antenna fissa esterna. Altrimenti si rischia di essere esposti a dosi ancora più alte di microonde. Infine bisogna fare attenzione ai ragazzi: non si ancora con precisione che effetto esse possono avere su un organismo in accrescimento".

    In proposito la Gran Bretagna ha anticipato tutti: il Ministero della sanità ha infatti chiesto a una commisione di esperti scozzesi dell’Università di Dundee, riuniti nell’Independent Expert Group on Mobile Phones, di pronunciarsi in proposito. Il richiamo non si è fatto attendere: "Non ci sono conclusioni definitive, ma è opportuno che, negli adolescenti, l’utilizzo dei telefoni cellulari sia limiato allo stretto indispensabile e sia scoraggiato in tutti gli altri casi". La relazione si può trovare all’indirizzo internet www.iegmp.org.uk.

    Fonte: Medscape General Medicine 2000, numero del 4 maggio


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